COLOCATION.COM ™
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -26%
Bosch BBS8214 Aspirateur Balai Multifonction sans fil ...
Voir le deal
249.99 €

Partagez
 

 Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Chanel-Zahia A. Williams

Chanel-Zahia A. Williams
Fonda ♥

Fonda ♥

DEAR DIARY ♥
→ Âge : 22 ans
→ Situation Amoureuse: Compliqué
→ Relations:

→ Date de naissance : 25/09/1996
→ Age : 27
→ La célébrité : Nina Dobrev
→ Messages : 634
→ Date d'inscription : 10/12/2011
Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »  Empty
MessageSujet: Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »    Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »  EmptySam 25 Mai - 21:07



Chanel-Zahia Anastasia Williams
« La vie n'est pas toujours parfaite. »

••• Le personnage •••

Bonjour, je m’appelle Chanel-Zahia Anastasia et mon nom est Williams. Je suis née le 01 juin 1989 ce qui me fait donc 23 ans piges. Je suis d'origine américaine et française et je sais parler anglais, français et italien. Ce qui me facilite pour mon travail ou mes études de droit. Je suis de classe aisée ce qui me permet de payer une villa. D'ailleurs je suis célibataire. Dans la rue tout le monde me confond avec Nina Dobrev.
••• Histoire •••

••• ••• ••• ••• ••• •••

Allongé dans un petit lit blanc, j’avais des grands yeux ouverts et je regardais dans la direction de mes parents. Je venais de sortir du ventre de ma mère, je m’appelais Chanel-Zahia Anastasia. Mon nom était Williams, celui de mes deux parents. Je n’étais pas resté bien longtemps l’hôpital, ont rentrait quatre jours après à la maison. Cette grande maison, cette demeure avec un magnifique jardin. J’allais pouvoir m’amuser et me défouler quand je serais plus grande. Bref, je passais des merveilleuses années dans cette maison. J’avais ma propre chambre et j’avais aussi une salle de jeu. Les années passaient tellement rapidement que l’âge d’aller à l’école était déjà arrivé. J’avais trois ans et j’allais passer ma journée dans un bâtiment avec pleins d’autres enfants de mon âge ou plus âgés. Je m’amusais avec la dinette et le ballon, je me faisais beaucoup d’amis. J’étais très apprécié car mon caractère était simple. Les professeurs étaient heureux de voir une enfant aussi impliqué dans son travail. Je faisais beaucoup de coloriage et je les ramenais souvent à la maison ou bien je les accrochais au mur dans la salle de cour. Je savais bien parler, je commençais à compter. J’étais un enfant que tout le monde voudrait avoir, j’étais un ange parmi tous ces démons. J’allais alors rentrer dans une nouvelle classe, j’avais eu mes cinq ans et j’allais pouvoir enfin retrouver mes amis après deux longs mois de vacance. Malheureusement pour moi, des cartons étaient entassés dans le hall, il n’y avait plus rien dans les armoires. Plusieurs camions arrivaient et les hommes prenaient toutes mes affaires pour les entasser dans le camion. J’avais alors compris qu’on allait partir de cette maison. Ou allions-nous aller ? Toujours dans la même ville, mais dans une autre maison ? Non on arrivait à l’aéroport et je partais mains dans la main avec ma mère. Je ne comprenais pas tous ce qu’il se passait, mais une chose était sure je n’allais pas revenir ici… Le voyage était long et épuisant, parfois l’avion bougeait légèrement certainement à cause du vent. J’avais du quitter mes amis du jour au lendemain sans leur expliqué. Mes parents devaient se dire que je n’avais que cinq ans et que j’allais me refaire des amis. Et si je n’y arrivais pas ? Et s’ils s’entendaient déjà tous bien ? Comment j’allais faire ? Je me posais énormément de question et au final la fatigue m’envahissait. Mes petits yeux se fermaient doucement et je m’évadais dans un rêve. Allongé au milieu d’une prairie entourée des chevaux. Le soleil me chauffait le visage et je faisais une sieste dans ce paysage si magnifique. Le bruit de l’eau qui coulait contre les rochers. Soudainement mon rêve s’arrêtait, mes yeux se rouvraient et ma mère me secouait pour qu’on sorte rapidement. D’un seul coup, je me retrouvais dehors. Il faisait nuit, complètement nuit et les gens ne parlaient pas la même langue que moi. Je ne comprenais pas un seul moi, je me sentais perdu dans cet endroit. Ou est-ce que je venais d’atterrir ? Dans quel pays je me trouvais ? Les jours passaient et je n’arrivais pas à m’y faire. Ma nouvelle maison n’était pas du tout comme l’ancienne, la chaleur était bien plus élevée et les gens parlaient bizarrement. Ils avaient leur langue et moi la mienne, je devais apprendre le Français. Comment j’allais pouvoir faire ? Je n’avais que cinq ans après tout à cet âge je devais parler ma langue natale pas une autre. Mais j’avais très bien compris que je n’avais pas le choix, que j’allais devoir tout recommencer depuis le début. En quelques mois je comprenais déjà les personnes parlé et je me débrouillais pas mal dans l’écriture. Je savais maintenant parler deux langues et les écrire. Mes parents m’avaient dit que cela me servirait plus tard et que je les remercierais d’avoir déménagé pour venir en France. Je ne savais pas si je devais les croire ou non car au final je ne savais pas ce que j’allais faire plus tard. Qui savait ? Personne, personne ne savait ce que j’allais choisir de faire. Peut-être que j’allais retourner à Hawaii car la plage me manquait et peut-être je retrouverais mes anciens amis ? Je retournais donc à l’école et au final l’intégration était plus facile que je pensais. Etre une américaine impressionnait les autres et en une journée j’avais pas mal d’amis. J’avais enfin retrouvé l’envie de sourire et de profiter de ma vie. J’étais heureuse et une bonne nouvelle n’arrivait jamais seule. J’avais neuf ans quand mes parents décidaient de m’expliquer que la famille allait bientôt s’agrandir. Ma mère était enceinte d’un petit garçon. Voilà ce qui expliquait son ventre largement plus rond et ces fraises partout. J’allais pouvoir m’occuper de mon frère et prendre soin de lui. Il allait être comme un petit protégé pour moi, mais je devais encore attendre quelques mois. Ces mois étaient long, mais quand celui-ci venait de sortir du ventre je regrettais déjà d’avoir un frère. J’aurais préféré rester seule, soudainement j’étais devenu invisible aux yeux de mes parents. Il n’y en avait plus que pour ce nouveau né qui ne faisait que de gueuler. J’allais devoir vivre dans l’ombre de celui-ci, mais je n’avais pas dit mon dernier mot. Je n’allais plus être la gentille fille qui faisait très bien ces travails. Non, il y en avait marre de tout ça. Je voulais profiter de ma vraie vie. Je sortais la journée avec des amis dans la vile et j’achetais tout ce qu’il me plaisait. Je ne faisais plus mes devoirs car je passais mon temps sur l’ordinateur et je ne faisais plus à manger. J’étais devenu une petite garce, je ne voulais plus être la bonne de service. Je voulais qu’on s’occupe de moi comme ils s’occupaient si bien de mon frère. Je me faisais de plus en plus engueulé et mes notes étaient en chute libre, ils étaient souvent convoqué au collège. Ils avaient bien remarqué le changement et ils mettaient ça sur le compte de l’adolescence. Ils ne se remettaient jamais en question, quand je ne disais jamais ce n’était jamais. Jamais à cause d’eux, jamais à cause de ce frère. Les années passaient et au final je me rapprochais de Jeremy. Il grandissait si vite et il devenait si mure. J’avais l’impression de me reconnaitre à travers lui. Il était si intelligent et je l’aidais le soir pour faire ces devoirs. J’avais l’impression qu’il était vraiment mon frère pendant ces périodes. Je devenais grande et parfois je ne rentrais même plus le soir. Je commençais à fumer et à sortir avec des hommes de mon âge. J’allais en soirée et même en boite ou bien dans les bars. Mes parents ne me connaissaient plus vraiment, ils ne connaissaient pas mes amis et je n’avais pas l’intention de les présenter. C’est à l’âge de quinze ans que je couchais pour la première fois avec quelqu’un. C’était avec un homme que j’aimais beaucoup, mais cette histoire c’était arrêter quelques mois après. J’étais au lycée et mon emploie du temps était beaucoup chargé. J’étais précisément en es en économie en quelque sortes. Heureusement pour moi j’étais une grosse tête et je m’en sortais sans problème, j’avais toujours des bonnes notes sans même bosser. A l’âge de dix-huit ans je passais mon permis et je l’avais obtenu sans trop de problème. J’avais ma propre voiture, enfin voilà quoi. J’étais devenu majeur comme ont disait en France. Alors que j’étais assise sur un banc avec des amis, mon frère jouait au ballon avec un copain. Le ballon traversait la route rapidement. Jeremy regardait bien avant de traverser et quand il traversa une voitura arrivait à toute vitesse et n’avait pas l’air de freiner. D’un seul coup, la voiture venait de renverser le jeune garçon. Elle ne s’arrêtait pas, elle continuait sa route laissant le corps du jeune sur la route. Il saignait du nez, il était abimé au visage ainsi qu’au bras. Ses yeux étaient fermés et il ne bougeait plus. Les larmes m’étaient montées rapidement aux yeux et j’avais traversé la route rapidement pour le tiré sur le trottoir. Je pleurais, j’hurlais et j’avais peur. Peur de perdre la personne qui comptait le plus à mes yeux. Les voitures s’arrêtaient et les gens m’entouraient. L’ambulance arrivait, mais il était trop tard. Son corps était froid et sans vie, son cœur ne battait plus. Il ne respirait plus, il ne faisait plus partit de ce monde. Il avait perdu vie sur le coup, un coup trop fort. Je n’arrivais pas à le lâcher, je ne voulais pas partir. Je ne voulais pas le laisser partir, je voulais rester près de lui. C’était mon frère, c’était un peu comme mon fils. Il m’aidait à faire battre mon cœur, qu’allais-je devenir sans lui ? Je n’étais plus rien. Pendant plus d’une semaine il se trouvait au funérarium et j’allais le voir tous les jours pour lui parler. Je n’arrivais pas à m’y faire, je pensais qu’il allait revenir, qu’il dormait tranquillement comme il le faisait chaque matin. Je pensais qu’en lui déposant un bisou sur le front il allait ouvrir les yeux. Mais là, rien. Cela me faisait encore plus mal et quand je rentrais chez moi je cassais tous ce qui se trouvait sur mon chemin. Les cadres de photos, les lampes, les décorations. Ma chambre n’était plus qu’un champ de guerre après la bataille. Mes larmes ne faisaient que de couler, je n’arrivais même plus à fermer un œil la nuit. Des crises d’angoisses, des cauchemars. J’hurlais pendant mes nuits, je pleurais et je terminais ma nuit au téléphone avec mon meilleur ami. Heureusement qu’il était là, lui. Je ne pouvais pas compter sur mes parents car depuis sa mort ils ne m’adressaient plus parole. J’étais coupable pour eux, ils auraient préférés que je perde ma vie à sa place. Lors de son enterrement j’étais habillé tout en noir, j’avais attaché mes cheveux sur le coté. Mon meilleur ami me soutenait pendant les moments les plus dur, d’ailleurs c’est avec lui que j’étais rentré dans l’église. A la fin de la cérémonie tout le monde partait à la salle commune. J’étais certainement la seule à rester près de sa tombe à pleurer. La nuit commençait à tomber et la pluie venait se joindre à ce rendez-vous. Mon meilleur ami était venu me chercher et m’avait raccompagné chez moi. J’étais incapable de faire quoi ce soit et c’est lui qui m’avait mise sous la douche. Il m’avait nettoyé, il m’avait démaquillé et m’avait habillé et m’avait glissé sous la couette. Je n’avais rien mangé et je perdais des kilos à vu d’œil. C’était la seule fois que j’arrivais à dormir, j’étais près de lui. Les cauchemars s’estompaient pendant une nuit et je pouvais récupérer le sommeil que j’avais en retard. Le lendemain quand je me réveillais, il n’y avait plus personne. Il était partit et une lettre se trouvait sur l’oreiller. « Chanel, n’oublie jamais que tu es vraiment adorable et surtout forte. Que tu arriveras à surmonter ça, tu ne dois pas te laisser abattre. Reste la tête haute et sois comme tu l’as toujours été. Ne me fait pas regretter d’être partit, je pense à l’heure ou tu lis cette lettre je suis déjà loin de toi en direction pour l’Amérique. Je ne savais pas comment te le dire surtout en ce moment. Je n’avais pas le choix, j’étais obligé de partir pour mes études. Je sais que tu vas mieux aller et je te fais confiance sur ça. Je t’aime beaucoup ma petite et ne l’oublie jamais. A bientôt. » La tristesse était revenue d’un seul coup, j’essayais de l’appeler et son numéro n’était plus attribué. Son Facebook était supprimé, je n’avais plus aucun moyen pour pouvoir le contacter. Il avait décidé de refaire sa vie en m’oubliant et en passant à autre chose. Les journées étaient dures, mais les nuits étaient bien pires qu’avant. J’avais perdu la seule moitié qu’il me restait. Une amie me faisait sortir comme elle pouvait et d’ailleurs elle m’avait amené dans une soirée au bord de la plage dans une grande maison. Je ne connaissais pas grand monde et je ne cherchais en aucun me faire des amis. J’enchainais les verres et j’avoue que je commençais seulement à oublier le mal que j’avais en moi. Enfin c’est ce que je pensais, je fumais comme un pompier et pas que des clopes. Je retrouvais une boite de médicament assez fort. Avec un verre d’alcool je venais d’en prendre plusieurs et j’étais alors sortie de la maison pour aller me promener sur la plage. Je m’étais assise dans le sable regardant les vagues, j’avais la tête qui tournait et un affreux mal de ventre. J’avais les mains qui tremblaient et les yeux humides. Des larmes coulaient le long de mes joues et d’un seul coup je me relevais et je marchais en direction de la mer. Je n’avais plus envie de vivre, j’avais qu’une seule envie c’était de retourner près de mon frère. Il n’y avait que lui qui pouvait m’apaiser, j’enlevais alors mes chaussures et j’avançais doucement dans l’eau. Le sable se faufilait entre mes doigts de pieds et l’eau me glaçait les orteils et pourtant je continuais d’avancer. J’entendais au loin quelqu’un m’appeler, mais je ne me retournais pas. Je continuais d’avancer jusqu’au moment ou je n’arrivais même plus à savoir ce que je faisais. Mon esprit s’embrouillait certainement à cause des médicaments que j’avais pris avec l’alcool. J’avais si mal à la tête, j’avais l’impression de partir. D’un seul coup mon corps me lâchait et mon esprit aussi. Mon corps tombait doucement dans l’eau, quelques bulles remontaient à la surface. Je venais de perdre connaissance au milieu de la mer, j’allais pouvoir enfin retrouver mon frère. Mon corps coulait dans l’eau, mais je ne sentais pas cette personne m’envelopper et me déposer sur la plage. Je commençais à partir doucement, mais surement. J’avais des pressions au torses et de l’air, je voyais mon frère mais celui-ci s’éloignait de plus en plus et d’un seul coup. Mes yeux s’ouvraient et je recrachais toute l’eau qui se trouvait en moi. Un homme se trouvait au-dessus de moi et sans me contrôler vraiment je déposais mes lèvres sur les siennes. Les idées m’étaient revenues au cerveau et il venait de me sauver de la noyade. Ce qui voulait dire que je n’allais pas mourir cette fois, que j’allais encore vivre. Mon visage se ferma et la sirène d’une ambulance retentissait. « Pourquoi tu es venu me chercher ? Pourquoi tu ne m’as pas laissé crever au fond de la mer ? Tu as tout foutu en l’air. J’en ai marre de vivre. » Les médecins m’amenaient avec eux à l’hôpital pour des examens et surtout faire un bon lavage d’estomac. Je passais une nuit plutôt agréable et le lendemain je me retrouvais face à face avec mes parents. Ils avaient pris une décision, je l’avais remarqué à leur visage. Ils commençaient à gueuler pour au final se calmer et ma mère prenait la parole : « Nous avons décidé de te faire interner. Tu es bien trop fragile en ce moment et nous ne pouvons pas te surveiller constamment. A partir d’aujourd’hui tu seras en hôpital psychiatrique. » Je n’avais pas mon mot à dire, dans l’après-midi une voiture m’avait déposé devant ce grand bâtiment blanc grillagé tout autour. J’avais l’impression d’aller dans une prison et à vrai dire ça devait être ça. Je devais rester un mois minimum et au final je sentais que j’allais y rester bien plus longtemps. Ma première séance avec un médecin était catastrophique. Me parler de mon passé m’énervait et je n’avais qu’une envie c’était de lui sauter à la gorge. Je lui répondais sèchement et celui-ci décidait donc de me laisser tranquille pendant plusieurs jours. Ma chambre était très blanche et il n’y avait qu’un bureau et un lit avec quelques livres. Ma fenêtre donnait sur la forêt qui se trouvait derrière le bâtiment. Pendant des mois je suis resté enfermer à rien faire et au final je ne pensais plus à mon passé. Je pensais à mon présent et à ce que j’allais faire plus tard. J’avais parfois l’impression d’avoir un lavage de cerveau, mais au moins six mois après arrivé je repartais soulagé. Je n’étais plus du tout la même, je ne pensais plus au même chose. Une pub avait été déposée au fond de la boite au lettre et c’était moi qui était tombé dessus la première. Partir dans une nouvelle ville pour commencer une nouvelle vie, mais sans avoir ou j'allais tomber. Ce slogan m'avait attiré et j'avais donc décidé de partir.
••• Caractère et manie •••

Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère. Ecrivez des manies et tocs ainsi que le caractère.
Prénoms: Justine Pseudo : Holnesse Age : 16 ans Pays : France Comment avez-vous trouvé la forum: I'm admin Comment le trouvez-vous: Smile Un dernier mot: Smile
© Mzlle Alice.


Dernière édition par Chanel-Zahia A. Williams le Ven 7 Juin - 16:01, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Chanel-Zahia A. Williams

Chanel-Zahia A. Williams
Fonda ♥

Fonda ♥

DEAR DIARY ♥
→ Âge : 22 ans
→ Situation Amoureuse: Compliqué
→ Relations:

→ Date de naissance : 25/09/1996
→ Age : 27
→ La célébrité : Nina Dobrev
→ Messages : 634
→ Date d'inscription : 10/12/2011
Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »  Empty
MessageSujet: Re: Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »    Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »  EmptySam 25 Mai - 21:30



Chanel-Zahia Anastasia Williams
« La vie n'est pas toujours parfaite. »

••• Les petites questions •••

Tes revenues : Aisée. moyenne. pauvre.
Caractère : sociable. insociable. timide.
Préférence d'habitation : appartement. maison. villa. chalet
Tu es plutôt : Fetard Sérieux dormeur. Solitaire
Tu fume : Oui. Non
Tu bois : Oui. Non
T'aimerais des colocataires comment : Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes. Expliquer en quelques lignes, minimum 5 lignes.

Revenir en haut Aller en bas
 

Chanel ◭ « tomber est permis, se relever est ordonné. »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
COLOCATION.COM ™ :: « ●● A votre arrivée » :: « ● Veuillez signer le bail ! » :: ☀Les habitations déjà occupées.-