Les serveuses sur ce bateau ne sont pas vraiment aimable. J'en ai fais les frais avec Charlie. J'étais tranquillement à moitié allongé sur les transat sur le pont profitant du soleil. Lors-qu’à un moment donné, je bouge mes jambes pour changer de position je sens quelque chose qui se cogne contre mes os. Charlie, oui toi, tu tomba sur le coté directement dans la piscine. Honteux pour une serveuse de ne pas savoir correctement marché avec un plateau. Tout le monde avait rit autour. Mais pas moi. Et bizzarrement tu t'en pris à moi. Une fois que tu fut sorti de l'eau, toute dégoulinante tu t'attaqua verbalement à moi. Tu m'accusa que j'avais volontairement fait un croche patte, tu étais énervé. Je n'ai rien voulu pour ma part, car en plus je te connais pas réellement. J'essaye tant bien que mal de garder mon calme moi aussi, mais tes accusations à tord me font perdre le contrôle.

Notre rencontre? Plutôt compliqué et cela ne va pas en s'arrangeant. Pourquoi donc? Car on se rappelle parfaitement de ce que l'autre nous as dis. En effet tu n'es pas invisible surtout quand une bande d'hommes (ou de toutou) se trouvent autour de toi ma chère Wendy à t'admirer faire du sport et être à tes petits soins. C'est une chose pathétique. J'ai fais une reflexion trop forte visiblement vu que tu l'as entendu. Tu es venu me parler et la conversation à été très mouvementé. Le ton augmentait de plus en plus. Sache une chose Wendy, tu es le type de fille qui ne seront jamais mon amie. Tu es bien trop prétentieux et ta supériorité me rend malade ! Le pire c'est que tu en joue avec moi. Tu sais que je ne te supporte pas et tu en rajoute sans cesse une couche. Tu me cherche mais je sais gardé mon calme ma chérie.

Comme quoi, internet n'est pas si mauvais qu'on le prêtant. Parfois l'on peut faire la rencontre de personnes de notre âge avec qui l'ont construit petit à petit une amitié. Ce fut le cas pour toi Eliana. Un jour alors que je fouillais les tumblr sur internet je suis tombé sur le tiens. Je l'ai parcouru. J'ai lu les textes que tu avais posté. De jolis textes bien écrits et formulé avec une histoire derrière. Je t'es contactée pour te parler de ses textes voulant te faire par de mon avis et en même temps intrigué par tes écrits. Et de là ... Un mail, puis deux et ainsi de suite. Nous avons fait connaissance au fur et a mesure. Nous nous sommes vu également à la webcam lorsqu'on ce fut senti bien toutes les deux. C'est dingue mais même sur internet on peut se rapprocher des gens. Nous sommes devenues amies. Je suis arrivée sur ce bateau et je suis tombée sur toi à ma plus grande surprise et joie par la même occasion. Depuis, on passe pas mal de temps ensemble. On peut dire que notre amitié sur internet n'était peut-être que jugée virtuelle par certaines personnes de notre entourage, mais en vérité, il s'avère qu'elle était bien réelle.

Ça arrive de rencontrer une personne ayant le même habit que vous. C'est assez bizarre je vous l'accorde. Je ne te connaissais pas Sutton. Mais tu es venue me voir à un moment donné. Pourquoi ? Parce que nous étions habillé totalement pareil. Tu l'as plus ou moins mal pris et tu es venue me dire clairement que je devais aller me changer. Tu as vite lâché l'affaire quand tu as vu que je te tenais tête et que je n'avais nullement l'intention de mettre autre chose. Tu es finalement parti, toi, te changer ne supportant pas d'avoir la même tenue que moi. Tu es revenue bien plus souriante. Tu étais belle et mieux. Tu t'excusa de ton comportement et nous avons commencé à discuter. Moi qui te trouvais une gosse de riche, petite capricieuse, cela parti les jours suivants. Nous sommes amis, surtout pour faire la fête mais pas que. L'on peut parler de tout. Mais au début tu eue du mal à canaliser ta jalousie sur certains vêtements que je possède. C'est donc pour cela que je suis venue dans ta suite un jour et que nous avons fait le point sur le nombre d'habits identiques que nous avions. Et au final il n'y en à que 35 sur plus de 100. D'ailleurs l'on s'appelle tout les matins pour savoir qui va mettre quoi. C'est une précaution pour ne pas avoir le même problème que la première fois.

Alors que je passais par le hall, une scène non loin de sous mes yeux me laissa perplexe. Il y avait cette fille, toute calme en train de ce faire sauvagement engueuler et insulter par un homme imposant. Cette fille c'était toi, Billy. Le fait que tu reste aussi sereine devant toutes ses agressions était pour le moins surprenant. Pour ma part j'aurais pas pu m’empêcher d'ouvrir ma bouche. D'ailleurs je suis intervenue, pour premièrement arrêter cette dispute qui était, je le sens, en train de dégénéré et d'aller vers la violence. Et deuxièmement parce que cela me semblait étrange que tu ne dise rien. J'ai bien essayé de savoir pourquoi ce silence mais pas grand succès. Je t'ai donné mon numéro, tu ma texter pour que j'ai le tiens à mon tour. Ne parlant toujours pas encore une fois. Je continue tous les jours à savoir pourquoi tu es presque muette. Puis finalement peu à peu tu lâche le morceau, parlant un peu plus qu'avant mais restant tout de même un peu muette sur les bords. Comme suis une battante et bien têtu, je ne lâche pas l'affaire car cette histoire m'intrigue, tu m'intrigue ! A ton visage je vois que je te suis surement agaçante mais au final tes traits s'apaise. Je ne te veux pas de mal, au contraire je veux aider. Il m'arrive aussi de temps à autre de te parler de moi, mais j'évite. Je ne préfère pas déballer toute mon histoire. Avant tout je suis la pour t'aider, il ne faut pas l'oublier. Et si on faisait un deal ? Toi tu recommence à parler et moi je te dis tout ?

Ma Savannah. Toi et moi nous avons une amitié à deux facettes. L'on s'adore ça il n'y a pas à dire, bien qu'à notre toute première rencontre ce n'était pas partie pour le devenir. Je me souviens que je suis arrivé dans la salle de concert accompagné de ma guitare pour jouer tranquillement. Sauf qu'en voulant jouer dans mon coin j'attira les gens vers moi, qui eux, se détachèrent de toi. Oui car tu jouais aussi. On peut dire que je t'ai un peu volé la vedette. Mais tu es compétitive et tu as redoublé d'effort pour récupérer ton public. Ça marchait. Les gens n’arrêtaient pas de jongler entre nous deux. Vu que moi aussi je me suis finalement mise à ce petit affrontement. Toi ayant un point de plus pour ta beauté accablante. Moi un point pour la technique que j'avais de jouer. Un point pour toi en poussant parfois la chansonnette. Un point de plus pour moi pour le regard et le sourire que je lancais aux gens et les faisant participer. Ce moment de battle était intense. Une guerre ? Non vu qu'ensuite l'on à parler ensemble. Plus précisément le lendemain. Et la petite haine que tu as eu envers moi la veille parti rapidement. Nous avons découvert que l'on avait à quelque chose près un humour pareil. Que l'on pouvait rigoler pour les même choses. De la, nous avons décidé de créer une alliance. Oui nous nous amusons à faire des farces et des blagues aux voyageurs. Ce n'est pas forcement pris de bons gouts pour certains mais nous ça nous fait rire. Je te définirais comme ma partenaire des 400 coups. Oui comme dans les films. Mais il y a un truc assez gênant. L'on à de plus en plus difficulté à gérer la situation qu'est la notre. L'on ne sait plus quand l'on doit être amies et quand l'on doit être ennemis par de la compétition. Mais pour l'instant ça reste ainsi. Le jour nous sommes inséparables. Et le soir nous sommes en compétition avec nos guitare. Ça met un peu de piment dans notre relation amicale.

Un accident est si vite arrivé. Enfin accident est bien grand mot pour la situation. J'étais tranquillement en train de marcher dans les multiples couloirs du bateau quand d'un coup, quelque chose de dur et moue à la fois se colla à moi. C'était ton fauteuil, Amy. Ce n'était pas la première fois que je te voyais. Il faut dire que tu ne passe pas vraiment inaperçu avec ton moyen de déplacement. Tu ne l'as pas fait exprès certes, mais sur le coup je me suis emporté. Je t'ai engueulé, je t'ai fais la morale. L'on ne sait pas reparlé depuis. Il s'avère que certains jours mes troubles du comportement reviennent et de fait je met en place différemment certains objets que contient le paquebot. Mais étrangement il ne reste jamais comme je le souhaite. J'ai découvert que c'était toi, qui les mettaient d'une autre manière. J'avais entendu par des gens que tu avais en plus de ton handicap, les mêmes troubles que moi. L'on peut dire que c'est une petite guerre entre nous. Débile certes mais qui dure quand même pas mal de temps. Puis un jour, je me souviens plus, l'une de nous deux à décrété que c'était puérile de faire ça et qu'il fallait donc lever le drapeau blanc. A la suite de cette trêve nous avons commencé à parler sérieusement. On a sympathisé finalement par notre lien avec ce trouble. Nous déconnons souvent maintenant. Ils nous arrivent même de nous amuser à faire la course, toi avec ton fauteuil et moi avec mes pieds. C'est peut être enfantin mais c'est bien mieux de s'entendre que de ce faire la guerre pour rien.

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C'est bien vrai alors. Nous avons tous un sosie dans le monde. Dans mon champ de vision je crois reconnaitre un gars de mon université que j'ai quitté il y a peu de temps (que j'ai fuis plutôt). Je me souviens avoir jouer avec lui pendant ma période auquelle je ne pouvais pas grand chose. Alors ne voulant pas à nouveau qu'il me coll d'avantage, j’entrepris moi même de venir faire la séductrice (seule chose qu'il connait de moi). Mais bizarrement une fois l'opération en marche, il n'est pas réceptif. Je comprend mieux après pourquoi. Ce n'était pas un ancien de mon école mais toi, Isodore. Un charmant jeune homme attiré totalement par les mecs. Tu as fais fort. Tu as su décelé rien qu'à ma technique (pathétique en soit) que je me forçais à draguer alors que ceci doit être une partie de plaisir. Tu m'expliqua que cela ne servait à rien car dans tous les cas tu préféré les hommes. Nous avons finit par discuter après cet épisode plus ou moins gènant. Depuis nous nous entendons assez bien. Tu arrive même à lire en moi comme dans un livre ouvert. Ce qui est en soit impression. Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu d'amitié avec la jante masculine et je dois dire que la, ça me fait du bien. Je me sent en confiance parce que je sais que tu n'abusera pas de moi ou que tu ne cherchera pas autre chose étant donné que tu es gay. D'ailleurs je me suis permise d'essayer de t'arranger des coups avec des messieurs qui sont à ton gout. Je ne dirais pas que je suis experte mais tu ne t'es jamais plains pour l'instant (:

Je sais oui que je suis imbattable au Poker. Ce n'est pas pour me vanter hein, mais je suis très douée. Et pauvre Jeffrey, tu en as fait les frais. Ce jour la tu n'aurais pas du aller au Casino cela t'aurais permis d'éviter une humiliante défaite. Tu as eu tellement mal que tu voulu à nouveau, de suite àprès, remettre une partie. Et la encore la chance fut de mon coté. Je pense que tu n'as pas supporter de perdre face à une aussi jolie fille que moi. Pourquoi ? A en jugé le fait que tu vienne me trouver maintenant assez souvent. Tu me parle, tu veux connaitre qui je suis. Veux tu etre ami avec moi ? J'en doute. Ca serait plutôt pour apprendre mes techniques et enfin me battre. Tu utilise même ta manipulation et ta séduction. Je vois direct ton manège et je te laisse continuer car ça me fait rire. Mais malgré tes efforts incessant pour connaitre mes coups et mes failles, je continue encore à te battre après plusieurs partie et dans des jours différents. Mais je crois que tu as finalement compris que ta manipulation envers moi ne marche pas. Car tu abandonne et devient réellement gentil. Je t'accorde une chance, mais une seule attention d'être mon ami. Je t'aide à t'améliorer sans toutefois dévoilé mes techniques. Tu es reconnaissante de ce que je fais après ce que tu as osé me faire au départ. Même si tu me l'avoue, et je le vois de toute façon à ta tête, que lorsque je te bats (comme toujours) cela t'agace. Il ne faut pas être mauvais perdant dans la vie. Je suis un adverse trop puissant pour toi.

Mon beau Jeremiah. Tu t'es vu attribué comme statut de nouveau copain de mon amie Sutton. Un assemblage mignon. Pourtant quelque chose me frappe. Tu regarde à mon gout, bien trop les filles autour de toi alors que tu es en compagnie de ta copine. Je t'ai surpris un jour, d'ailleurs, à parler avec une fille. La distance était bien trop proche pour que vous ne soyez que de simple amis. Ce pourquoi j’entrepris un plan pour démontrer que tu ne respecte pas ton engagement envers elle. Mon plan consiste à te séduire. J'avais décidé d’arrêter cette pratique en venant ici mais la c'est pour une bonne cause. Puis ce n'est pas déplaisant de te charmer. Vu la façon si facile que tu as de tombé dedans. Mais je commence moi même à tomber progressivement dans mon propre jeu. En voulant te séduire, je finis par me sentir une cible pour toi. Arrive ce qu'il doit arriver. J'ai enfin la preuve de ce que j'avançais depuis le départ. Nous échangeons un puis plusieurs baiser. Quel enfoiré quand même tu fais. Je prend pourtant gout à ses baisers. Mais je me dois d'être honnête envers mon amie. Je vais donc lui avouer la terrible nouvelle bien que ça soit purement démonstrative. Mais j'en fus tout aussi surprise lorsque Sutton m'appris que tu n'étais pas réellement avec elle. Ai-je donc fais tout ceci pour rien ? Je ne sais comment tu l'as appris mais tu as su, Jay, ce que je t'ai fais. Pourtant ce fut un plaisir de le faire. Je ne sais pas ce que tu compte faire. J’espère que tu ne m'en voudra pas trop ...

Adrian je t'avoue que au début j'avais du mal avec toi. Les fois où j'ai parlé avec toi tu me faisais sans cesse des remarques sur ma richesse que je dépensais à tort ce qui est totalement faux.. Le courant n'est jamais bien passé. Mais un jour j'étais au bar. Toi aussi. On a bu légèrement. Mais nous n'étions pas venus ensemble. Ça non ! Je pense que c'est sans doute l'alcool qui m'a fait te raconter mon vécu. Te prouver que mon argent n'est pas comme tu pense. En retour tu m'as également parlé de ton passé avec ta copine qui t'as trompé. Affreux ! Je dirais ce jour au bar nous à finalement bien aidé. Nous sommes à présent amis. Et j'ai réussi à te faire changer la façon dont du me voyait. Je suis comme toi au final : nous voulons fuir notre passé.

Je crois que tu as bien fais d'être ami avec Wendy mon cher Aaron. Enfin je vous croyez en couple à première vu mais tu m'as bien dis ensuite que ce n'était que de l'amitié. La première fois qu'on c'est vu ? Oh j'étais en pleine dispute avec elle comme à notre habitude. Toi tu étais la dans ton coin, à regarder, passionné par cette fabuleuse scène. Et je connais cet attitude. Je ne sais pas pourquoi lorsque deux filles se battent physiquement ou verbalement ça vous existe les mecs. A la suite de ça tu m'as trouvé un jour dans le bateau. L'on à commencé à parler. Tu es sympathique et pas mal physiquement. Puis au fils du temps, je sens que tu essaye de me draguer, tu me séduis et ça marche. Non ce n'est pas parce que je craque pour toi. Mais plutôt car c'est réellement drôle de voir la tête de Wendy quand nous sommes ensemble. Je suis sur à 100 % qu'elle te considère bien plus qu'un simple ami. Je sais que tu joue le séducteur avec moi pour envenimer encore plus ma relation avec elle. Ca ne me dérange pas car pour une fois je peux la gagner sur un terrain. Puis c'est pas mal de te séduire également.

Nous deux nous avons eu une relation. Oui une amourette de vacances comme je l’appellerais. Je ne la regrette pas car nous avons passé de bon moments. Enfin je ne sais même pas pourquoi je parle de ça au passé car même si notre amourette pris fin l'on est rester très proche. On c'est certes un peu perdu de vues pendant quelques mois. Mais de te revoir ici, nous à faire revenir nos habitudes. On est très proche, voir trop proche pour certains. L'on est complice. On aime ce faire des câlins, et avoir un contact physique. Des amis un peu trop proche mais j'aime cette relation. Ça fait du bien de pouvoir être ainsi avec un gars sans que ça soit ambiguë. Enfin je crois que ça ne l'est pas. Tu sais bien que je t'adore mon petit Julianou ♥ (:

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