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 Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]

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Summer L. Hudson

Summer L. Hudson


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MessageSujet: Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]    Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]  EmptyLun 2 Jan - 17:53





Summer & Charlie


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« Honteux pour une serveuse de ne pas savoir correctement marché avec un plateau ! »

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬




      Traversant les multiples couloirs ainsi qu'en montant les nombreuses marches des étages , je chantonnais des paroles tout droit sorti de mon imagination. " Splendide et grand paquebot naviguant sur les océans. Splendide et grand paquebot un an dessus j'y resterais. Splendide et grand paquebot naviguant sur les océans. Splendide et grand paquebot l'aventure peut commencer. " Bien sur ma chanson purement inventé de toute pièce raisonnait seulement dans ma tête. Imaginez le regard des voyageurs si ils croisaient une fille chanter une drôle de chanson alors qu'elle n'a même pas d'écouteurs à ses oreilles. Ça aurait était un coup à ce qu'ils me prennent pour une folle. Enfin dans le mauvais sens du terme j’entends. Il y avait peut être quelques fois où mes lèvres bougeaient mais aucun son n'y sortait. Je ne sais pas en quel honneur mais aujourd'hui je suis de bonne humeur. De très bonne humeur d'ailleurs. Peut être était-ce le fait d'avoir pris le large depuis trois jours. Le fait d'être loin à présent de la terre ferme et de tout problème de la vie. Ou le fait qu'il fasse un temps radieux dehors. J'avais pu voir par ce qui servait de fenêtre dans ma chambre les rayons du soleil venir éclairer toute la pièce. Et ce temps m'avait donné envie d'aller sur le pont.

      Par delà le pont je pouvais admirer le paysage et les terres lointaines qui devenaient de plus en plus flou par notre avancé dans les eaux bleus marine. J'avais l'impression qu'il y avait beaucoup plus de monde aujourd'hui que lors de mon arrivé sur le bateau. Les gens avaient eu la même idée que moi : profiter de ce temps magnifique. La piscine qui était plus ou moins en plein milieu de ce pont était entouré de nombreux transat presque tous occupé. Il devait y avoir si mon compte est bon quatorze petits poissons nageant et s'amusant dans l'eau turquoise délimité par des parois. Ces petits poissons étaient surveillé par un maitre nageur assis sur sa haute chaise. Il dominait tout le terrain. Un spectacle me fit bien rire. Je ne sais pas ce qu'on toutes les midinettes à fantasmer sur les surveillant de piscine. Lui, il avait au moins trois filles qui étaient la en train de lui parler. C'est pathétique la façon qu'elles ont de le regarder ou de sourire. Manquerait plus qu'elles le suivent lors de ses mouvements comme des toutous. J'avais déjà vu ça et je vous dis pas la crise de fou rire que je me suis prise. Bon je n'allais pas dire qu'il n'était pas beau ce maitre nageur. Mais je ne suis pas de la à baver devant lui. Ça non. Je chercha un endroit où je pourrais me placer. Je n'avais pas pris mon maillot et je n'avais pas vraiment envie de descendre puis encore de remonter pour aller me le chercher. Puis de toute façon je n'avais pas envie d'avoir mon corps enfui dans de l'eau. Ma douche de ce matin m'avais suffit. Je voulais juste profiter des doux rayons de cette grosse boule jaune au dessus de notre tête.

      Je vis non loin de moi deux personnes se disputer. L'une était allongé sur un transat. Le gars. Et l'autre était debout une feuille à la main. La fille. Par ce que j'en voyais il me sembla que c'était un couple. Sans doute une dispute débile du genre " Tu m'as même pas attendu " ou " On devait passer la journée ensemble " ou bien encore " C'est quoi ça ? Tu veux me quitter ?! " . La fille réussi quand même son coup car elle obligea l'homme à sorti ses fesses de cette longue chaise blanche pour descendre dans les étages du bateau. J'en profita pour récupérer ce transat. Ben quoi ? Il était à présent vide, je pouvais donc le prendre. Je m'installa confortablement. La chaise ne ressemblait à aucunes de celles que j'avais pu connaitre dans ma vie. C'était moelleux et non pas inconfortable. Il y avait également un appui moelleux aussi pour poser notre tête. Gouter au luxe ça ne fait pas de mal au final. Mes lunettes de soleil posées sur mon visage, je ferma les yeux. Les lunettes me servaient à cacher mes yeux. Comme ceci personne ne pouvait savoir que je ne voyais rien. Ils ne tenteront donc pas de faire des sales coups que eux seuls trouveraient amusant. Le bruit tout autour me permettait de ne pas m'endormir. Une bonne demi heure passa quand j'entendis tout près de moi un raclement de gorge. J'ouvris doucement les yeux. Le gars de tout à l'heure était en face de moi. Et il voulait absolument récupérer sa place. Non mais il ne manquait pas de toupet lui ! Le pire c'est qu'il y avait un transat de libre juste à coté. Mais non il voulait celui ci. Quel emmerdeur celui la ! Il était borné et n'hésita pas à me dire qu'il appellerait la sécurité pour régler cette affaire. Et qu'en plus il m'accuserait de lui avoir pris sa place après lui avoir mentis en disant que sa suite était en feu. J'aurais tout vu ! C'était lui le menteur. Je ne voulais pas d'histoire alors je pris mes affaires et lui laissa son cher et tendre transat adoré.

      Ne voulant pas être à coté de cet homme insupportable et capricieux je fis encore le tour des lieux. Voila à présent que je suis assise sur une chaise. Toujours confortable malgré tout. Remarque c'était pas mal au moins, la je pouvais me permettre de lire mon magasine car je ne serais pas tenté de dormir. Je croisa mes jambes à la hauteur des genoux. J'ouvris ce petit bouquin et commença à lire le contenu. Je senti des picotements dans ma jambe droite. Je pencha ma main tout en ramenant vers moi la partie inférieure de mon corps que j'avais pour cible, pour apaiser ce qui me démangeait. Une fois cette sensation désagréable passé je redescendis ma jambe et laissa cette fois ci mes membres inférieurs plus où moins affalé sur le sol. Mais je n'étais pas si bien que ça avec les jambes aussi détendu. Surtout que ça faisait comme une barrière. Une petite barrière de quelques centimètres à peine. Je bougea alors mes pieds, puis mes jambes pour essayer de trouver une autre position dans laquelle je me sentirais mieux. Finalement il aurais mieux fallu que je reste allongé sur le transat la-bas. Mes jambes continuaient de bouger. Quand d'un coup je senti un appui sur le coté. Quelque chose où quelqu'un venait de cogner ma peau !
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    MessageSujet: Re: Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]    Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]  EmptyVen 6 Jan - 23:01

    Pas de doutes, ce travail me tuait. Non pas que je ne l’aimais pas, au contraire, mais il m’était tellement fatiguant, que j’avais l’impression de travailler H24, sept jours sur sept. J’avais fait quelques bonnes connaissances en travaillant, telles que Quinn, ma collègue, ou même des voyageurs. La plupart étaient accueillants et gentils, mais d’autres, comme partout, buvaient trop, faisaient des allusions pas très catholiques, voire certains voulaient même en venir parfois aux mains. Il faut de tout dans un monde hein.

    C’était un début d’après midi très ensoleillé. Il faisait très beau, donc par conséquent, très chaud. En plus, je courrai partout à la fois, pour servir dans des délais raisonnables les clients qui étaient venus en nombre aujourd’hui par le temps. Un Gin Tonic par là, une vodka ici, un mojito là bas, un cocktail sans alcool pour la jolie petite fille, j’allais craquer !!!! Pause. Enfin, ça faisait bien une heure que je cavalais partout. Bon j’avais une demi-heure. J’aurai bien eu envie d’aller dans la piscine, mais je n’avais pas le temps. Je ne pouvais pas aller mettre mon maillot de bain, prendre ma serviette, aller dans l’eau, ressortir, me sécher, retourner à ma chambre, me changer. Ca aurait été encore courir, et je n’en avais vraiment pas le courage. Au lieu de ça, j’allais me reposer quelques minutes sur mon lit. Du silence, enfin. Mes oreilles bourdonnaient tellement elles n’avaient pas entendus quelque chose d’aussi agréable depuis des heures. Je mis mon réveil, et fermai les yeux. Je ne voulais pas arriver en retard, et pénaliser les collègues.

    TUT TUT TUT. Le réveil, l’heure de retourner travailler, l’heure de retourner au cauchemar ambulant qu’étaient les clients par ce temps. Pressés, chiants, il n’existe pas d’autres mots je crois. Bon, faut y aller, c’est l’heure de la pause de Quinn, et elle doit retrouver sa fille, Olivia. Je me change vite fait, histoire d’avoir moins chaud que tout à l’heure, et me dépêche de retourner au bar. Je vois Quinn, lui souris, et lui fais un signe pour lui dire qu’elle peut partir en pause. « Bonjour, qu’est ce que je vous sers ? » L’enfer recommence. Heureusement, les clients à cette heure ci sont un petit peu moins nombreux, tous occupés à essayer de trouver un transat à la piscine. Manque de chance, ils doivent tous être pris. Oh non, en parlant de transat et de piscine, c’est à mon tour d’affronter ce monde et les clients qui y sont présents. Ordre du chef, on ne discute pas, et on y va. J’ai bien fait de m’habiller moins chaudement moi, à croire que j’avais deviné que ce serait à moi d’aller servir mesdames et messieurs à leurs transats. Quelques fois, le ras-le-bol se faisait sentir, et aujourd’hui, la chaleur et la fatigue le faisait rapidement s’installer au fond de moi. Une commande, deux commandes, trois, quatre, cinq commandes. Hop, retour au bar, remplissage des verres, et c’est reparti vers la piscine. C’est un calvaire, et je pèse mes mots pour passer entre le rebord de l’eau et les transats qui s’en approchent très dangereusement. Je ne pense pas si bien dire. Au moment où je pense à ça, voilà qu’une de ses filles de riche se tourne, cogne ses jambes contre les miennes, et me fait tomber à la renverse… La tête la première dans l’eau de la piscine, sous les regards ahuris et moqueurs de tous les voyageurs. J’ai honte. Cette pourrie gâtée m’a fait tomber, et elle va le regretter, vous pouvez me croire. Tous les verres sont brisés sur le bord de la piscine, elle comme moi allons passer un mauvais quart d’heure. Elle avec moi, moi avec mon chef. Mmmh, je vois d’ici la couleur. Rouge sang. Bon bref, je sors de la piscine, trempée jusqu’aux os, énervée comme on ne peut plus, prête à lui dire ses quatre vérités :

    « T’es contente ? T’as réussi ton numéro ? Tout le monde rigole, t’es la star, bravo. Vous, les gosses de riches, pensez que tout vous est permis en croyant qu’un chèque peut tout arranger ? T’es pitoyable, et surtout, t’en prendre à quelqu’un qui n’a rien fait d’autre qu’exhausser vos prières en apportant des boissons fraîches, c’est pitoyable. »

    J’y allais peut être un peu fort, mais son air sournois de madame je sais tout m’insupportait. Non, elle ne savait rien, elle ne savait pas l’humiliation que je venais de subir par sa faute. J’étais trempée, tellement qu’on ne pouvait même pas voir que j’en avais les larmes aux yeux. Je n’avais jamais été humiliée de telle sorte, et elle, elle avait l’air de s’en foutre, comme si ça ne changeait rien pour elle. Parce qu’en vrai, ça ne changeait vraiment rien pour elle. En plus, par ce temps si chaud, je devais être la seule ayant si froid, juste habillée d'un petit short noir et d'un haut blanc très large, mais qui collait à ma peau désormais. Le maitre nageur, qui avait vu toute la scène, avait pris une serviette de bain, et me l'avait déposée sur les épaules pour me réchauffer un minimum. Je le remerciai, continuant de trembler.
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    MessageSujet: Re: Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]    Une chute accidentelle [ Charlie / Summer ]  EmptySam 7 Jan - 15:43





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    « Honteux pour une serveuse de ne pas savoir correctement marché avec un plateau ! »

    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬




        Je n'avais pas vraiment eu le choix que de m'installer sur cette chaise basse. J'avais commencé à lire mon magasine lorsqu'un serveur passant par la, me demanda si je voulais quelque chose. Je lui dis gentiment que je ne désirais rien pour l'instant mais que si j'avais envie d'un truc plus tard, je viendrais le voir. Il avait l'air content vu son sourire. Était il intéresser par moi ? Non je ne pense pas. C'était juste une manière d'être poli. Puis ce n'était pas comme ci c'était le seul serveur qui venait me voir. Enfin trouver son client va on plutôt dire. Il y avait au moins six ou sept serveurs qui circulaient à l'extérieur. Je les plaignaient un peu. Ça devait être dur de travailler sous cette chaleur étouffante avec des clients qui peuvent être parfois désagréable. Avec leur uniformes ils devaient sans doute dégouliner de sueur à l'intérieur de leur tissus. J'aurais était à l'heure place je n'aurais pas tenu le coup je crois. Et j'en étais certaine à la fin de ma journée de travail j'aurais plongé dans la piscine pour décompresser.

        Tiens en parlant de la piscine ... Quelque chose toucha ma jambe. J'allais surement avoir un bleu étant donné que ma peau claire marque assez rapidement. Je releva mon regard lorsque j'entendis un plateau tomber. Des bruits de verres se briser. Mon livre reçu une partie du contenue des verres anciennement debout. Merde voila qu'il était fichu. Il passera le reste de sa vie à la poubelle. Il ne m'avait pas bien couté cher mais c'était quand même de l'argent gâché. Je posa donc à terre le journal trempé de liquide. Mes yeux se refixèrent sur la scène qui se déroulait juste en face de moi. Un gros PLAF se fit entendre. Non ce n'était pas un enfant qui venait de sauter dans l'eau en faisant la bombe. Mais plutôt une brune. Plus précisément une serveuse. Ce qui expliqué le plateau. Des rires se firent alors entendre. Je n'étais pas bien placé pour avoir vu la scène de façon à ce que ça soit marrant. J'aurais surement ris moi aussi si je n'avais pas étais en face. Étais-ce moi qui venait de la faire chuté ainsi ? Probablement avec mes jambes qui ne tenaient pas en place. Je me sentis mal pour elle. Ça devait être affreusement gênant pour cette jeune serveuse. Et en plus de ça, elle eut peine à remonter de son trou dans lequel elle se trouvait. Je n'aurais pas aimé être à sa place. Personne d'ailleurs je pense. Je crois que si j'avais été dans son cas, je serais parti me cacher en courant par cette situation assez gênante.

        Je pris appui de mes mains sur les rebords de la chaise, pour commencer à me lever. Je voulais savoir comment elle allait. Puis aussi, avant tous, lui faire mes plus plates excuses. C'était la moindre des choses de demander pardon pour un accident involontaire. Je n'eus pas besoin finalement de me lever. Elle venait vers moi. Je me laissa alors retomber dans ma chaise. Je crois que j'aurais du me lever et lui faire face au final. Elle me cria dessus. Elle pensait vraiment que je lui avait fait un croche pied volontairement ? Il y avait méprise sur le coup. Et la plus grande méprise de tout son discours était sans contexte le fait qu'elle me prenne pour une " gosse de riche ". Certes sur le bateau il y avait énormément de gens appartenant à cette catégorie. Mais surement pas moi. Le voyage avait un prix couteux oui, mais parfois ça peut venir d'un cadeau. Ce qui était mon cas. Le fait qu'elle soit énervé était compréhensible. Mais néanmoins l'envie de lui faire mes excuses disparu. Je ne savais pas si je devais lui répondre d'une voix calme et paisible pour essayer de calmer la situation. Ou si au contraire je devais à mon tour lui faire un petit speech sur le même ton qu'elle. Oh puis zut, je verrais bien comment ça évolue.


        Woh woh , calme toi déjà. Premièrement ce n'est qu'un simple et pur accident. Comme si j'allai m'amuser à faire tomber les gens. C'est vrai que c'est un jeu tellement passionnant. La preuve, regarde, j'en rigole.


        Bien sur c'était de l'ironie. Je ne riais pas si elle avait bien remarqué contrairement aux autres. Grâce à ça d'ailleurs que l'on peut reconnaitre les fameux gosses de riches. Mon ironie ne plaisait pas à tout le monde. Il était donc fort probable qu'elle non plus ne l'apprécie pas. Il n'y à qu'entre ceux qui utilise ce bel aspect qu'est l'ironie qui se comprennent.


        Détrompe toi je ne suis pas une gosse de riche comme tu le dis. Ne t'as t'ont jamais appris qu'il ne faut pas coller des étiquettes aux gens sans les connaitre ?


        Je chercha de mon regard, une serviette que je pourrais lui tendre. Elle avait surement froid à en voir ses jambes tremblantes. J'avais quand même un fond gentil même si on s'énervé contre moi. J'en avais vu une pas loin tout à l'heure. Quelqu'un me devança. Le maitre nageur bien évidemment. Il devait surement la connaitre était donné qu'il fait aussi partie de l'équipage. Il ne resta pas bien longtemps. Juste le temps de la couvrir d'une assez grande serviette. Il me lança un regard accusateur. Mince il me jugé alors qu'il ne savait rien. Enfin il avait pu voir la scène si. Et sii jamais je n'arrivais pas faire entendre raison à la jeune serveuse, il faudra que je l'appelle. Lui seul pouvait être l'arbitre de ce match. En partant je ne pu m'empêcher de regarder ses fesses. Ben quoi ?
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